Il semble que presque tout le monde au sein du gouvernement se croit supérieur au reste d'entre nous dans la connaissance et le jugement. Il est impossible de dire combien bénéfique, pour ne pas mentionner vital, la recherche et les connaissances ont été perdues en raison des caprices arrogants de quelques-uns qui se l'élite parmi nous, simplement sur la base de s'être conçu dans une position de pouvoir considèrent . Un exemple déprimant de cette arrogance se reflète dans le fiasco entourant la recherche sur les avantages médicaux de la marijuana.
Chemin du retour, en 1974, l'Institut national de la santé a financé la recherche au Collège de médecine de Virginie. Leur mission était de prouver l'affirmation selon laquelle les dommages de marijuana le système immunitaire. Dans le financement de cette recherche, le NIH a été destiné à être carrément déçu - ils ont tiré de manière efficace dans le pied. Plutôt que de recevoir la confirmation et la preuve à l'appui de leur thèse, les gens NIH ont contrarié d'apprendre que les chercheurs ont trouvé MCV plutôt que le THC, l'ingrédient actif du cannabis, indéniablement ralenti la croissance de trois types de cancer chez la souris.
Depuis ce lamentablement échoué dans le renforcement de l'affaire du gouvernement contre la marijuana, à leur avis, la plus nocive de toutes les mauvaises herbes, et en fait s'est avéré tout le contraire, le DEA est venu charger dans la mêlée, bannières au vent, trompettes hurlantes. Ils ont fermé l'étude Virginie avec tous les autres recherche sur les tumeurs de cannabis.
Pour ne pas être en reste à l'assaut du public sur un utile mais plante et substance souvent mal, le président Gerald Ford a obtenu dans le train en 1976, et a mis fin à toutes les recherches de cannabis tout en accordant simultanément ce droit exclusivement à l'industrie pharmaceutique maniaque ravis.
Puis, en 1983, dans un logement à un lobbying intense et la réception des contributions de campagne massives, l'administration Reagan / Bush s'est efforcé de persuader les universités et les chercheurs américains à détruire tout le travail de recherche 1966-1976 de cannabis, y compris des recueils dans les bibliothèques. Ils étaient partiellement réussi. De grandes quantités d'information ont disparu.
Mais tous ces efforts négatif, c'est comme essayer de retenir l'aube. Les faits continuellement en dépit des meilleurs efforts de certains intérêts établis pour les enterrer. En Février 2000, une autre confirmation des capacités de lutte contre le cancer de la marijuana est sorti de Madrid. Les chercheurs là-bas avaient détruit des tumeurs cancéreuses du cerveau incurables chez des rats en leur injectant THC. Cela confirme l'étude précédente Virginie.
Les nouvelles de cette découverte a été pratiquement inexistante aux États-Unis. Le New York Times a ignoré l'histoire. Ainsi fait le Washington Post et le Los Angeles Times. Ces papiers reçoivent des revenus publicitaires majeurs de l'industrie pharmaceutique, qui, par ailleurs, emploie deux lobbyistes pour chaque membre du congrès.
Comme la pression du public pour permettre l'utilisation de la marijuana médicale continue de construire, de plus en plus de politiciens sont amenés à regarder de plus près les faits. Son soutien par les patients et les professionnels de la santé commence à se faire sentir. De plus en plus d'États adoptent des lois humanitaires vers la marijuana médicinale que de nombreux patients réclament de la substance à soulager les symptômes et les effets secondaires de la chimio.
La nausée, le vomissement, la douleur, l'insomnie et qui sont généralement la conséquence de la thérapie anticancéreuse conventionnelle, paralyser la qualité de vie d'un patient. Marijuana, fumé, vaporisé, infusé dans le thé, ou cuit dans les aliments, peut considérablement rétablir la place du patient dans le monde. Notant ce qui a induit la communauté oncologique entier à approuver son utilisation.
Les sociétés pharmaceutiques, du mal à rivaliser contre cette vague de sentiment, ont isolé le composé actif de la marijuana, le delta-9-tetrahydrolcanabinol, le THC, et fait une version synthétique de la disposition par la prescription. Mais il ne fonctionne pas aussi bien que vieux marijuana plaine, il ne fonctionne pas du tout sur certaines personnes, il prend de 45 minutes à 2 heures pour prendre effet quand il fonctionne, et il sera mis un patient de retour sur $ 800.00 par mois. Pas vraiment une bonne alternative.
La marijuana médicale n'est pas sans ses propres effets secondaires. Anxiété, somnolence, sécheresse de la bouche, la lenteur de la réaction, et la perte de mémoire à court terme sont parmi eux. Les patients qui utilisent cette substance à des fins médicinales connaîtront divers effets secondaires. Chacun réagit différemment à son utilisation et il est très important d'acheter de la marijuana d'une source autorisée. D'autres médicaments ou substances nocives sont souvent ajoutés par les concessionnaires criminelles sans scrupules.
Les médecins traitant des patients atteints de cancer ont besoin critique pour être tenu au courant de tous les médicaments pris par leurs patients, y compris la marijuana, over-the-counter, sous ordonnance ou des remèdes homéopathiques. Il est très important de garder à l'esprit que la marijuana, à ce stade, n'est pas une forme de traitement et n'est pas curatif. Il est uniquement utilisé pour traiter les symptômes du cancer comme la douleur, et pour soulager les effets secondaires du traitement.
Quatorze Etats ont légalisé l'usage de la marijuana médicinale. Ils sont: l'Alaska, la Californie, le Colorado, Hawaï, Maine, Maryland, Michigan, Montana, Nevada, Nouveau-Mexique, l'Oregon, Rhode Island, Vermont et Washington. Chaque État a ses propres règles et les règlements concernant son utilisation et ceux-ci doivent être respectées. La plupart des États exigent l'enregistrement des pièces justificatives et la certification par un médecin. Cela ne doit en aucun cas être interprétée comme une approbation de l'usage aveugle de la marijuana. La substance a des effets négatifs très graves et doit être traitée comme tout autre médicament. Si vous n'en avez pas besoin, rester loin de lui.
