Choc, l'incrédulité et un sentiment d'irréalité. Est-ce vraiment ce qui m'arrive? Ce sont quelques-unes des plus fréquentes réactions sur le premier recevant un diagnostic de cancer, avec l'anxiété - les préoccupations et les craintes sur l'avenir et si le cancer peut être traité. Et la peur ultime - je mourir? De telles inquiétudes sont totalement normaux et font partie de notre réponse aux défis graves intégré.
L'anxiété peut nous aider à concentrer nos énergies et de mobiliser nos ressources. Mais quand il est intense, elle peut avoir un effet paralysant. Beaucoup de gens affirment que leur concentration et de pensée est affectée. Ceci est tout à fait normal, et est un mécanisme de retrait de protection, vous donnant le temps de s'adapter. Mais il peut rendre difficile de se rappeler des choses que le personnel médical vous le dis, donc il est souvent utile d'avoir quelqu'un avec vous qui peut ensuite aider à vous rappeler ce qui a été dit, ou poser des questions.
L'anxiété peut s'intensifier à mesure que la réalité de la situation devient plus claire - tout peut sembler incertain, et l'incertitude peut être une des choses les plus difficiles à traiter. Auparavant, vous pouvez avoir ressenti plus ou moins «sûrs» dans votre corps. Après avoir dit que vous avez un cancer, ce sentiment de sécurité peut être ébranlée. Le monde peut soudainement se sentir menaçant, et l'anxiété qui en résulte peut rapidement toute une gamme de sentiments inconnus. Certaines personnes se sentent en colère ou du ressentiment - peut-être demander «Pourquoi cela m'arrive à moi?" - D'autres peuvent se sentir coupables.
Idéalement, il permet d'avoir un peu de temps pour s'adapter. Mais quand un traitement précoce est proposé, il peut être utile d'avoir quelques chances - comme une séance de counseling ou un chat avec un ami ou une infirmière du cancer - pour exprimer les craintes et les angoisses.
Chaque personne développe son propre mécanisme particulier d'adaptation pour faire face à la situation. Cela varie beaucoup, selon la personnalité, de soutien (comme la famille, les amis ou le personnel médical) et de l'expérience précédente des circonstances traumatiques. Un mécanisme commun d'adaptation est le déni ou d'évitement - ce qui donne un moyen pour quelqu'un de prendre progressivement à l'intérieur et donner du sens à ce qui pourrait autrement être écrasante. Mais l'extrême de ce - déni total - peut être très difficile pour tout le monde à faire face. Angoisses sourdes peuvent être invalidants - ce qui rend difficile à accepter l'aide et de soins.
Perte de contrôle sur votre corps peut vous faire sentir impuissants, vulnérables et sans défense. Il prend généralement du temps à retrouver un sentiment d'autonomie - de sorte que vous pouvez penser clairement à nouveau, poser des questions, des sentiments de voix et de prendre des décisions. Certaines personnes craignent que de parler de leurs craintes peuvent augmenter le risque en quelque sorte d'entre eux viennent vrai. En fait, être en mesure de nommer vos peurs et les angoisses diminuent généralement leur impact.
Mais les gens varient dans la quantité d'informations qu'ils veulent sur le cancer. Il est donc important pour les familles, amis et professionnels de la santé d'être conscients - et le respect - façon dont une personne de faire face.
Les personnes atteintes du cancer vont parfois dans le cadre de «gestion de crise» de l'esprit, ce qui peut les aider à se tenir ensemble pendant une période difficile. Il peut se sentir comme si tout le reste est «en attente» jusqu'à ce qu'un traitement est terminé. Beaucoup de gens sont intrigués, si elles se sentent plus anxieux ou déprimé lorsque leur traitement est terminé. Cela peut être dû aux craintes de récidive - mais, plus généralement, il s'agit de traiter l'arriéré des émotions qui ont été mis «en attente».
Bien que de nombreuses personnes atteintes de cancer sont traités avec succès, l'angoisse ultime pour la plupart des gens, c'est la mort. Encore une fois, parler des craintes associées à la mort peut vous aider. Beaucoup de gens ont plus peur du processus de mourir que de la pensée d'être mort. Il peut être un grand soulagement de reconnaître et de discuter de leurs préoccupations avec le personnel médical, des conseillers, famille et amis - de sorte que, autant que possible, tout est fait pour répondre à vos besoins.
Quelles que soient les circonstances d'un individu, et si le résultat final est la récupération ou la mort, beaucoup de personnes bénéficient d'avoir le temps, d'espace et de soutien pour faire face à leurs angoisses.
Plutôt que de devenir émotionnellement paralysé, il peut être possible de retrouver un sentiment d'équilibre et de rassembler des ressources intérieures et extérieures qui peuvent être profondément le maintien en cas de besoin.
